Mythe Eskimo

 

ACTION
Prendre le beurre, l'argent du beurre et la crème

Ou survivre
Enfermé dans des bulles en béton armé
Informé comme il faut, diverti comme il faut et endormi devant la télé.

 

REACTION
Sentir les êtres vivants
Tisser avec eux des liens invisibles
Découvrir et Connecter les Esprits Libres



Prospective


RAPPEL de toutes les paroles de la Marseillaise

En 1792, à la suite de la déclaration de guerre du Roi à l'Autriche,
Un officier français en poste à Strasbourg,
 Rouget de Lisle compose, dans la nuit du 25 au 26 avril, chez Dietrich,
 Le maire de la ville, le "Chant de guerre pour l'armée du Rhin".

Allons enfants de la Patrie

Le jour de gloire est arrivé !

Contre nous de la tyrannie

L'étendard sanglant est levé

Entendez-vous dans nos campagnes

Mugir ces féroces soldats?

Ils viennent jusque dans vos bras.

Égorger vos fils, vos compagnes!

Aux armes citoyens

Formez vos bataillons

Marchons, marchons

Qu'un sang impur

Abreuve nos sillons

Que veut cette horde d'esclaves

De traîtres, de rois conjurés?

Pour qui ces ignobles entraves

Ces fers dès longtemps préparés?

Français, pour nous, ah! quel outrage

Quels transports il doit exciter?

C'est nous qu'on ose méditer

De rendre à l'antique esclavage!

Quoi ces cohortes étrangères!

Feraient la loi dans nos foyers!

Quoi! ces phalanges mercenaires

Terrasseraient nos fils guerriers!

Grand Dieu! par des mains enchaînées

Nos fronts sous le joug se ploieraient

De vils despotes deviendraient


Les maîtres des destinées.

Tremblez, tyrans et vous perfides

L'opprobre de tous les partis

Tremblez! vos projets parricides

Vont enfin recevoir leurs prix!

Tout est soldat pour vous combattre

S'ils tombent, nos jeunes héros

La France en produit de nouveaux,

Contre vous tous prêts à se battre.

Français, en guerriers magnanimes

Portez ou retenez vos coups!

Épargnez ces tristes victimes

À regret s'armant contre nous


Mais ces despotes sanguinaires

Mais ces complices de Bouillé

Tous ces tigres qui, sans pitié

Déchirent le sein de leur mère!

Nous entrerons dans la carrière

Quand nos aînés n'y seront plus

Nous y trouverons leur poussière

Et la trace de leurs vertus


Bien moins jaloux de leur survivre

Que de partager leur cercueil

Nous aurons le sublime orgueil

De les venger ou de les suivre!

Amour sacré de la Patrie

Conduis, soutiens nos bras vengeurs

Liberté, Liberté chérie

Combats avec tes défenseurs!

Sous nos drapeaux, que la victoire

Accoure à tes mâles accents

Que tes ennemis expirants


Voient ton triomphe
et notre gloire!



Honneur

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