Autour du point


Quel est le plus petit élément de l’atome ?

L’électron …



( 1s^x; 2s^y, 2p^z; 3s^t, 3p^u, 3d^v; etc )


L

Lettre

Nom

Nbre max d'e-

Forme

0

s

sharp

2

2

1

p

principal

6

2 lobes

2

d

diffuse

10

4 lobes

3

f

fundamental

14

8 lobes

4

g


18


5

h


22


6

i


26





Nuage Atomique






la Constante de Planck est exprimée en joule-seconde, J·s. = h= 6,62606896 x 10^-34 J.s


L’inégalité formelle reliant l'écart type de la position σx et l'écart type de la quantité de mouvement σp 

est : σx. σp >= hbar / 2

où ħbar est la constante de Planck réduite égale à h/2π = 1,054571726 x 10^-34 J.s.




une particule est associée à un champ quantique, opérateur qui se transforme comme une représentation irréductible ( représentation non nulle qui n'admet qu'elle-même et la représentation nulle comme sous-représentations ) du groupe de Poincaré* qui se classent par deux nombres réels positifs : la masse et le spin. (Groupe = ensemble muni d'une loi de composition interne associative admettant un élément neutre et, pour chaque élément de l'ensemble, un élément symétrique).

*Le groupe de Poincaré (ou Symétrie de Poincaré) est l'ensemble des isométries* de l'espace-temps de . Il a la propriété d'être un groupe de Lie* non-compact à 10 dimensions. Il inclut quatre types de symétrie :


*Une isométrie, en géométrie, est une transformation qui conserve les longueurs.

Une isométrie est donc un cas particulier de similitude.

Le terme isométrie est parfois un peu vague. Il peut renvoyer à deux termes distincts. Une isométrie peut désigner :






En théorie des ensembles, l'hypothèse du continu (HC), due à Georg Cantor, affirme qu'il n'existe aucun ensemble dont le cardinal est strictement compris entre le cardinal de l'ensemble des entiers naturels et celui de l'ensemble des nombres réels.

( cardP(E)=2^cardE )


En algèbre générale, les structures algébriques sont définies une à une et leurs propriétés sont étudiées séparément.

En algèbre universelle, les structures algébriques sont étudiées de façon globale de façon à obtenir un modèle unifié, d'où l'adjectif « universel ».

Par exemple, qu'y a-t-il en commun entre la théorie des groupes, la théorie des anneaux et la théorie des corps?




D'ordinaire, la totalité s'oppose à la partie. Elle est parfois mise en relation avec l'infini (Levinas), ce qui l'oppose à la conception antique du cosmos comme totalité fermée, ou encore comprise de façon dialectique (Hegel et l'idéalisme allemand).

{ 1, 2, 2 } = { 1, 1, 1, 2 } = { 1, 2 }.




Sur la base du principe d'équivalence masse-énergie d'Einstein, ceci correspond à une énergie de 511 keV^2.


l'annihilation d'un électron avec un positron => énergie en rayons gamma.


L'observation d'un électron isolé dans un piège de Penning démontre que le rayon de cette particule est inférieur à 10^-22 m.


En mécanique quantique, la propriété ondulatoire d'une particule peut être décrite mathématiquement comme une fonction à valeurs complexes, la fonction d'onde, couramment dénotée par la lettre grecque psi (ψ). Quand la valeur absolue de cette fonction est élevée au carré, cela donne la probabilité d'observer une particule dans un petit volume près de la position choisie — une densité de probabilité.

L'électron peut franchir une barrière de potentiel par effet tunnel, phénomène que la mécanique classique est incapable d'expliquer et que la mécanique quantique explique en faisant appel à la notion de fonction d'onde.


projection

Projection tridimensionnelle d'une figure à deux dimensions. Il y a deux collines symétriques par rapport à un axe, et des puits symétriques le long de cet axe, se reliant selon une forme de selle.

Exemple d'une fonction d'onde antisymétrique pour un état quantique de deux fermions identiques dans une boîte à une dimension. Si les particules échangent leur position, la fonction d'onde change de signe. La fonction d'onde est ici : ψ(x1, x2) = √2[sin(πx1)sin(3πx2)] – sin(πx2)sin(3πx1)


où r1 et r2 sont les positions des deux électrons. Comme la valeur absolue est invariable lors du changement de signe de la fonction, ceci indique que les probabilités sont les mêmes. Les bosons, tels les photons, ont des fonctions d'onde symétriques.



Les seconde et troisième générations contiennent des leptons chargés, le muon et le tauon, identiques à l'électron sous tous rapports, sauf leur masse, bien plus élevée.
Les leptons diffèrent des autres constituants de base de la matière, les quarks, parce qu'ils ne sont pas sensibles aux interactions fortes. Tous les membres du groupe des leptons sont des fermions, parce qu'ils ont un spin 1/2.




Les physiciens pensent que le vide peut être rempli de paires de particules « virtuelles », comme des électrons et des positrons, qui se créent et s'annihilent rapidement ensuite.

La combinaison de la variation d'énergie nécessaire à la création de ces particules, et du temps pendant lequel elles existent, reste en dessous du seuil de détectabilité exprimé par le principe d'incertitude de Heisenberg : DeltaE x Deltat >= hbar.

Pratiquement, l'énergie demandée pour créer les particules, DeltaE, peut être « empruntée » au vide pour une durée Deltat, dans la mesure où le produit n'est pas plus grand que la constante de Planck réduite hbar approx 6,6 x 10^-1 eV.s.

Donc pour une paire électron-positron virtuelle, Deltat <= 6,6 x 10^-22 s.


Tant qu'une paire virtuelle électron-positron subsiste, la force coulombienne du champ électrique ambiant entourant un électron fait que le positron est attiré par ce dernier, tandis que l'électron de la paire est repoussé. Ceci provoque ce que l'on appelle la « polarisation du vide ». En fait, le vide se comporte comme un milieu ayant une permittivité diélectrique supérieure à l'unité. Donc la charge effective d'un électron est plus faible que sa valeur nominale. Elle est de plus en plus élevée en s'approchant de la particule : les charges portées par les particules virtuelles masquent celle de l'électron. Les particules virtuelles provoquent un effet de masquage comparable pour la masse de l'électron.


L'interaction avec des particules virtuelles explique aussi la légère déviation (environ 0,1 %) entre le moment magnétique intrinsèque de l'électron et le magnéton de Bohr (le moment magnétique anomal).

La précision extraordinaire de l'accord entre cette différence prévue par la théorie et la valeur déterminée par l'expérience est considérée comme une des grandes réussites de l'électrodynamique quantique.


En physique classique, le moment angulaire et le moment magnétique d'un objet dépendent de ses dimensions physiques. Il paraît donc incohérent de concevoir un électron sans dimensions possédant ces propriétés. Le paradoxe apparent peut être expliqué par la formation de photons virtuels dans le champ électrique engendré par l'électron. Ces photons font se déplacer l'électron de façon saccadée (ce qui s'appelle Zitterbewegung en allemand, ou mouvement de tremblement) qui résulte en un mouvement circulaire avec une précession. Ce mouvement produit à la fois le spin et le moment magnétique de l'électron. Dans les atomes, cette création de photons virtuels explique le décalage de Lamb observé dans les raies spectrales.


charge

Une particule de charge q part de la gauche à la vitesse v à travers un champ magnétique B orienté vers le lecteur.

Puisque q est négatif pour un électron, il suit donc une trajectoire incurvée vers le haut.

Si la charge de la particule est nulle, elle se déplace en ligne droite.

Si elle est de charge positive, sa trajectoire est incurvée vers le bas.


Quand un électron est en mouvement, il engendre aussi un champ magnétique, cause du magnétisme.

La loi d'Ampère-Maxwell relie le champ magnétique au mouvement d'ensemble des électrons (le courant électrique) par rapport à un observateur. C'est cette propriété d'induction qui fournit l'induction électromagnétique qui fait tourner un moteur électrique.



Quand un électron se déplace dans un champ magnétique, il est soumis à une force de Lorentz, dirigée perpendiculairement au plan défini par le champ et la vitesse de l'électron. Cette force perpendiculaire à la trajectoire contraint l'électron, dans un champ magnétique uniforme, à suivre une trajectoire hélicoïdale dans le champ, sur un cylindre (imaginaire) dont le rayon est appelé « rayon de Larmor ».

 L'accélération due à ce mouvement en courbe conduit l'électron à émettre de l'énergie sous forme de rayonnement synchrotron. L'émission d'énergie à son tour provoque un recul de l'électron, ce qui est connu sous le nom de « force d'Abraham-Lorentz-Dirac », qui crée une friction qui ralentit l'électron.

 Cette force est provoquée par une réaction du propre champ de l'électron,

freinage

Ici, le rayonnement continu de freinage est produit par un électron e défléchi par le champ électrique d'un noyau atomique. Le changement d'énergie  E2 – E1  détermine la fréquence f du photon émis.



 Le moment angulaire orbital des électrons est quantifié. Comme l'électron est chargé, il produit un moment magnétique orbital proportionnel à son moment angulaire. Le moment magnétique total d'un atome est égal à la somme des moments magnétiques propres et orbitaux de tous les électrons et du noyau. Celui du noyau, cependant, est négligeable par rapport à celui des électrons. Les moments magnétiques des électrons qui occupent la même orbitale (électrons en paire) s'annulent,

 En physique, la liaison chimique entre atomes résulte d'interactions électromagnétiques, décrites par les lois de la mécanique quantique, Selon leur proximité du noyau, les chimistes considèrent les électrons de cœur et les électrons de valence ; ce sont ces derniers qui interviennent dans la liaison chimique, Les plus fortes sont les liaisons covalentes et les liaisons ioniques, qui permettent la formation de molécules, Dans une molécule, les électrons se déplacent sous l'influence de plusieurs noyaux, et occupent des orbitales moléculaires, de la même façon qu'ils occupent des orbitales dans des atomes isolés, Un facteur fondamental dans ces structures moléculaires est l'existence de paires d'électrons : celles-ci sont des électrons de spins opposés, ce qui leur permet d'occuper la même orbitale moléculaire sans violer le principe d'exclusion de Pauli (de la même manière que dans les atomes). Les orbitales moléculaires différentes ont des distributions spatiales de densité d'électrons différentes. Par exemple, dans les paires liantes — qui lient les atomes ensemble, on trouve des électrons avec une densité maximale dans un relativement petit volume entre les atomes. Au contraire, pour les paires non liantes, les électrons sont distribués dans un grand volume autour des noyaux, C'est l'existence de paires liantes, où des électrons périphériques sont mis en commun par deux atomes voisins, qui caractérise la liaison covalente. La liaison ionique s'établit lorsque deux ions sont fortement liés par attraction électrostatique ce qui se produit si un électron d'un atome a une orbitale moléculaire majoritairement située à proximité de l'autre atome.

Les réactions d'oxydoréduction — des échanges d'électrons — englobent la combustion, la métallurgie, l'électrochimie, la corrosion et la respiration cellulaire,

 * Quand on les refroidit en dessous d'une température critique, les substances peuvent subir une transition de phase qui leur fait perdre toute résistivité au courant électrique, phénomène appelé « supraconductivité ». Dans la théorie BCS, ce comportement est expliqué par des paires d'électrons (formant des bosons) qui entrent dans l'état connu sous le nom de « condensat de Bose-Einstein ». Ces paires de Cooper voient leur mouvement couplé à la matière environnante par des vibrations du réseau nommées « phonons », évitant ainsi les collisions avec les atomes responsables de la résistance électrique,

 Dans les conducteurs solides, les électrons sont des quasi-particules. Quand ils sont fortement confinés aux températures proches du zéro absolu, ils se comportent comme s'ils se décomposaient en deux autres quasi-particules, des spinons et des chargeons, La première transporte le spin et le moment magnétique ; la seconde, la charge électrique : c'est la  c'est la séparation spin-charge.


Cette constante a joué un rôle primordial dans le modèle de l'atome d'hydrogène, connu sous le nom de "modèle de Bohr" afin d'expliquer la présence des raies spectrales qui traduisent le fait que les fréquences du mouvement de l'électron autour du noyau central ne sont pas quelconques, et de même que l'énergie correspondante est parfaitement bien déterminée. Bohr admit qu'un électron sur des orbites stationnaires ne peut pas émettre un rayonnement, contrairement à ce qui était soutenu en Électromagnétique Classique.

Il émit l'hypothèse qui devint la 1ère condition de quantification de Bohr, à savoir que l'action de la quantité de mouvement p = mv sur une orbite complète est un multiple entier de  la constante de Planck. Idée également connue comme "hypothèse quantique de Planck".


 La diffusion optique, une interaction entre la lumière et les électrons, explique la réflexion optique, La diffusion Rayleigh permet d'expliquer la couleur du ciel et la couleur des plumes de certains oiseaux, La réfraction des ondes électromagnétiques est aussi issue de l'interaction de la lumière et des électrons206. Ces phénomènes optiques sont aussi causés par l'interaction des photons avec d'autres particules chargées tel le proton. La plupart des interactions des photons avec la matière se ramènent à trois phénomènes : effet photoélectriquediffusion Compton et production de paires électron-positron (ou matérialisation), Ils se manifestent la plupart du temps en présence d'électrons, car ce sont les particules chargées les moins lourdes.

 Selon la relativité restreinte d'Albert Einstein, quand la vitesse d'un électron se rapproche de la vitesse de la lumière, du point de vue d'un observateur, sa masse relativiste augmente, ce qui rend de plus en plus difficile de l'accélérer à partir du repère de l'observateur. Ainsi, la vitesse d'un électron peut s'approcher de la vitesse de la lumière dans le vide c, mais jamais l'atteindre. Si un électron relativiste, c'est-à-dire se déplaçant à une vitesse proche de c, est injecté dans un milieu diélectrique comme l'eau, où la vitesse de la lumière est significativement inférieure à c, il va se déplacer plus vite que la lumière dans le milieu. Le déplacement de sa charge dans le milieu va produire une légère lumière appelée « rayonnement Tcherenkov » par effet Vavilov-Tcherenkov.

F de Lorentz

Le facteur de Lorentz γ (gamma) en fonction de la vitesse v. Il part de l'unité et tend vers l'infini quand v tend vers c

 Les effets de la relativité restreinte sont basés sur une quantité appelée facteur de Lorentz, défini comme
gamma = 1/racine de (1-v^2/c^2), où 
v est la vitesse de la particule.

 L'énergie cinétique  Ke  d'un électron se déplaçant à la vitesse  v  est :
Ke = ( gamma-1),me,c^2 où  « me » est la masse de l'électron.

 À titre d'exemple, l'accélérateur linéaire de SLAC peut accélérer un électron jusqu'à environ 51 GeV.
Puisque la masse de l'électron est de 0,51 MeV/c2, ceci donne une valeur d'environ 100 000 pour  gamma.


 Le moment relativiste d'un tel électron est donc 100 000 fois celui que la mécanique classique prédirait à un électron de cette vitesse.
Comme un électron se comporte également comme une onde, à une vitesse donnée, il a une longueur d'onde de De Broglie caractéristique donnée par :
lambda_e = h/p où h est la constante de Planck et p la quantité de mouvement,


naissance
 où γ est un photon, e+  un positron et e-  un électron.



Inversement, des paires électron-positron s'annihilent pour émettre des photons énergétiques. Il y a donc pendant cette période un équilibre entre électrons, positrons et photons. Au bout de 15 secondes, la température de l'Univers est descendue sous la valeur oùla création de paires positron-électron peut a voir lieu. La plupart des électrons et des positrons qui restent s'annihilent, relâchant des photons réchauffent l'univers pour un temps,

nucleosynthese
où n est un neutron, p un proton et ve   un antineutrino électronique.

Pour la période allant jusqu'à 300 000-400 000 ans, les électrons restants sont trop énergétiques pour se lier aux noyaux atomiques, et toute la lumière circulant dans l'Univers est constamment diffusée par ces électrons. Il suit une période que l'on appelle la « recombinaison », où les atomes neutres sont formés, et l'univers en expansion devient transparent au rayonnement,

 Quand des paires de particules virtuelles — comme un électron et un positron — sont créées au voisinage de l'horizon, leur distribution spatiale aléatoire peut permettre à l'une d'entre elles d'apparaître à l'extérieur : ce processus est nommé effet tunnel quantique. Le potentiel gravitationnel du trou noir peut alors fournir l'énergie qui transforme cette particule virtuelle en une particule réelle, ce qui lui permet de se répandre dans l'espace, En échange, l'autre membre de la paire reçoit une énergie négative, ce qui résulte en une perte nette de masse-énergie du trou noir. Le rythme du rayonnement de Hawking croît quand la masse décroît, ce qui finit par provoquer l'évaporation complète du trou noir,

rayon cosmique 1

rayon cosmique 2
où « mu »  est un muon et « v_mu »  est  un neutrino muonique.

rayon cosmique 3
Production d'une paire électron-positron par collision d'un photon avec le noyau d'un atome.



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